La zone de mangroves, des plus sensibles, ont été fortement déboisées pour l’urbanisation, pour la production de sel et des projets de mariculture (crevettes), également par la récolte d’écorces de mangrove pour la tannerie. Aujourd’hui, l’expansion continue de la frontière agricole (production de canne à sucre) et les pollutions agricoles liées à l’usage d’intrant dans le bassin versant constituent, avec les pollutions marines, les principales menaces.
Restauration :
Le projet procèdera à la restauration hydraulique de casiers d’élevage de crevettes, puis à la reforestation communautaire de ces espaces ; différentes espèces de palétuviers et modalités de plantations seront étudiées.