Les travaux de thèse sur » Apport de la restauration écologique à la résilience des mangroves par analyse de cas : Costa Rica, Bénin, Philippines, Afrique de l’Ouest, Indonésie et Guyane française » conduits par Rachel Bitoun et développé en collaboration avec O. Lebrun et E. Dutrieux de Créocéan et de S. Pioch du centre d’écologique fonctionnelle et évolutive – Université Paul Valéry-Montpellier III avait pour objectif de proposer une approche intégrée de la restauration écologique des mangroves prenant en compte à la fois des facteurs écologiques, biophysiques et socio-économiques, tous trois affectant directement le potentiel de résilience de l’écosystème.
Au regard de l’efficacité de la préservation des mangroves encore aujourd’hui insatisfaisante face à l’urgence écologique, quelles réponses opérationnelles peuvent être proposées afin d’améliorer la performance des projets visant à protéger et à restaurer les mangroves ?
Cette thèse a été abandonnée.
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